Le Consistoire Soka du Bouddhisme de Nichiren rend ici public une série de documents qui apportent un éclaircissement nécessaire à toute personne souhaitant s’informer sur le mouvement Soka et des réponses aux interrogations les plus fréquemment posées concernant le culte du bouddhisme de Nichiren Daishonin et le mouvement Soka en général. |
- Pour une évaluation équitable du culte du bouddhisme de Nichiren en France
- Analyse du rapport de la Commission d’enquête parlementaire relative à l’influence des mouvements à caractère sectaire sur la santé des mineurs, intitulé « L’enfance volée. Les mineurs victimes des sectes »
- Réponse au rapport annuel 2005, de la Miviludes publié en 2006
- Etude de la vie familiale des pratiquants du culte du bouddhisme de Nichiren en France
Pour une évaluation équitable du culte du bouddhisme de Nichiren en France
Depuis quelques années, le culte du bouddhisme de Nichiren Daishonin et le Mouvement Soka Gakkai (« Association pour la création de valeurs ») font l’objet de certaines accusations en France, qualifiant ce groupe de « secte ».
Aucun fait précis, aucun élément objectif, aucune plainte circonstanciée et a fortiori aucune condamnation n’a pourtant jamais été mis en avant pour justifier ces critiques. Il ne s’agit toujours que d’affirmations péremptoires, de suppositions ou de reprises d’éléments qui, en soi, ne signifient absolument rien.
Analyse du rapport de la Commission d’enquête parlementaire relative à l’influence des mouvements à caractère sectaire sur la santé des mineurs, intitulé « L’enfance volée. Les mineurs victimes des sectes » (rapport n°3507, déposé le 12 décembre 2006)
Le 19 décembre 2006, la Commission d’enquête parlementaire relative à l’influence des mouvements à caractère sectaire sur la santé des mineurs, a rendu public son rapport intitulé « L’enfance volée. Les mineurs victimes des sectes » (rapport n°3507, déposé le 12 décembre 2006).
Il est fait référence au mouvement Soka dans 4 passages de manière évasive, sur la base de trois auditions, sans aucune preuve factuelle susceptible de démontrer que des enfants soient en danger dans notre mouvement.
Mais il est toutefois explicitement reconnu dans ce Rapport parlementaire que la doctrine du mouvement Soka « n’implique pas en elle-même de comportements déviants »" (p. 39 du Rapport parlementaire du 19 décembre 2006)
> Lire la lettre adressée aux députés suite au rapport
Réponse au rapport annuel 2005, de la Miviludes publié en 2006 (seul rapport annuel de la Miviludes, parmi tous les autres rapports, qui cite le mouvement).
Au regard des passages de ce rapport qui prend la peine de nous citer, aucun fait objectivement répréhensible n’est reproché (et pour cause puisqu’il n’en existe pas) à la Soka Gakkai ou à ses membres pris ès-qualité, ni encore aucun discours (hormis justement le texte précité, tronqué et sorti de son contexte !), acte, fait ou comportement susceptible d’entrer objectivement dans la notion de dérives sectaires.
Etude de la vie familiale des pratiquants du culte du bouddhisme de Nichiren en France
Analyse du rapport (PDF - 205.1 ko) | |
Lettre adressée aux députés suite au rapport (PDF - 278.8 ko) | |
Lettre Miviludes (PDF - 646.4 ko) | |
Etude de la vie familiale des pratiquants (PDF - 2.8 Mo) | |
Annexe 1 Pour une évaluation équitable (PDF - 3.5 Mo) | |
Annexes 2 Pour une évaluation équitable (PDF - 2.1 Mo) |